Nathalie Danae :
Soumise de Maître VdS

Moi Nathalie Femme, Soumise & Femelle
Ma Bio – Ma Jeunesse
Bonjour,
Je m’appelle Nathalie, Soumise Nath, propriété de Maître Vertigedsens. J’ai décidé de lui être soumise corps et âme pour notre bonheur commun dès lors que je me glisse dans ma seconde peau… À ce titre, il a tout pouvoir sur moi et en moi pour me faire vivre ma nature de travestie totalement assumée, demandeuse de féminité, de féminisation et de femélisation sous toutes les formes…
Il m’a demandé de me mettre totalement à nu, rapport à celle que j’ai été, à celle que je suis et rapport à celle que je veux devenir…
Mes premiers émois : les années 70 – 80 – la découverte
Né(e) il y a longtemps, ma vie a été marquée par des attentes et des désirs bien au-delà de ce que mes parents pouvaient imaginer. Ils espéraient une fille alors qu’ils avaient déjà un garçon, et cette anticipation silencieuse a laissé une empreinte durable sur mon identité. J’ai le sentiment de vivre par procuration une projection que ni eux ni moi n’avons pu ou su vivre ensemble.
Les vêtements féminins, en particulier les collants couleur chair de ma mère, ont été un catalyseur qui m’ont très tôt troublé et ont façonné mes désirs de sensualité féminines, puis mon inclination à tout ce qui relevait de la sensibilité féminine et enfin de la sexualité sous l’angle des femmes. Mes expériences se sont faites à l’aune d’une époque — les années 70 et 80 — synonyme de liberté et d’expression personnelle; un moment où la mode et la sexualité se mêlaient dans le tumulte de la culture.
Je me souviens d’une jeunesse entourée de tenues qui reflétaient l’audace d’une époque révolue. Les collants, les bas noirs ou couleur chair, les bustiers et les guêpières que l’on trouvait dans les catalogues de La Redoute ou des 3 Suisses évoquaient une esthétique raffinée qui m’attirait irrésistiblement. Chaque semaine, je feuilletais le magazine « Lui » chez ma tante, qui vendait la presse. Ce regard sur la mode et la sensualité étaient plus qu’un simple passe-temps; c’était une école de pensée, une exploration de la beauté qui m’ont profondément influencée.
Ces années étaient marquées par une libération sexuelle sans précédent. Les décolletés audacieux, les mini-jupes qui défiaient les conventions, et la fin des porte-jarretelles au profit des collants créaient un espace où la féminité pouvait s’exprimer librement. Les poitrines féminines s’ exposaient au grand air, les seins ainsi dévoilés exprimaient et réveillaient les sens de toute une génération. Cette période était une célébration de la sensualité; les dentelles et les combinaisons satinées portées sous des robes légères ne pouvaient qu’aviver et faire germer les graines de ma féminisation; qui, si elle n’était pas encore assumée était déjà ancrée en moi. Je ne pouvais qu’admirer ces transformations, bloquée par ma propre solitude et timidité.
Mes premiers émois : l’Adolescence – la confirmation
À l’adolescence, ma personnalité s’est construite souvent en décalage avec celle de mes camarades. Bien que je n’étais pas le modèle classique de virilité — je ne buvais pas d’alcool, n’étais pas très sportif, et mon physique était chétif — je trouvais du réconfort dans ma sensibilité. Mes amis, souvent des filles, étaient mes complices dans cette quête de beautés raffinées, des chaussures aux bijoux en passant par le maquillage et les sous-vêtements, que je cachais précieusement dans ma chambre. Mon désir d’explorer la sexualité féminine nourrissait ma curiosité.
Au fil du temps, après plusieurs tentatives de relations amoureuses et familiales, j’ai commencé à libérer cette sensibilité féminine qui avait toujours été en moi. Tout devenait précieux : des scènes de cinéma aux vêtements, chaque élément de la mode offrait un aperçu d’une vie que je désirais ardemment. Dans l’intimité de ma chambre, je m’habillais secrètement, enfilais les collants, appliquais du maquillage et savourais le plaisir de me voir transformée. Ce processus d’habillage était comme une renaissance ; je devenais la femme que j’avais toujours ressenti vivre en moi.
L’âge Adulte – ma vraie nature
Mes désirs physiques, bien que présents, prenaient une forme qui ne correspondait pas nécessairement aux normes de la société. Je n’étais pas intéressé par les rapports avec des femmes, mais plutôt par un orgasme émotionnel et physique qui m’éveillait à ma propre féminité.
Des aventures passives avec des garçons ont illuminé une partie de moi que je ne connaissais pas encore. Mon corps réagissait avec sensibilité et chaleur, mais je ne me percevais pas comme gay, plutôt comme une âme féminine cherchant à vivre pleinement ses aspirations..
En effet, je ne voulais pas simplement avoir des relations avec des hommes, ni même faire l’amour pour la simple satisfaction physique. Quoique les érections fussent absentes chez moi, je cherchais une connexion profonde, quelque chose de raffiné où je pouvais exprimer ma sensualité. Ma manière d’aimer était tactile ; j’aimais masser, caresser, et explorer les corps avec douceur. L’expérience de la fermeté en retour, presque de la brutalité, était pour moi une dimension normale de ce besoin d’être touché et désiré.
L’âge Adulte – la maturité
Après un divorce et en voyant mes enfants grandir, une nouvelle opportunité se présentait à moi — celle de vivre comme la femme que je voulais vraiment être. Le service militaire avait mis un terme à plusieurs aspects de ma vie, mais maintenant je pouvais respirer librement. Internet a ouvert la voie à de nouvelles rencontres, des amitiés, et des explorations d’identité. Ce qui avait été un fantasme est devenu une réalité palpable, une chance de s’affirmer et de revendiquer son authenticité.
Je me lançais dans un avenir parsemé d’espoir, portant des vêtements féminins et explorant mes obsessions à travers les soins, l’épilation, et les soirées. Chaque instant était précieux, un rappel que le temps est fugace. Ma retraite approchante et mon célibat devenaient des opportunités pour embrasser pleinement cette vie en tant que femme. Rien n’était plus doux que de ressentir la caresse des sous-vêtements ajustés, de porter des talons, de me maquiller, et surtout, d’être totalement présentée à quelqu’un pour partager cette intimité.
Les souvenirs des années passées, des vêtements minutieusement choisis, des sensations délicates des tissus sur ma peau, constituent une partie intégrante de mon existence. La féminité n’est pas seulement un rôle ou une apparence ; c’est une vocation qui se traduit par un état d’esprit, un voyage en soi, une danse entre le désir et l’acceptation. Dans cette exploration inachevée de ma nature, je réalise que chaque étape m’a rapprochée de la femme que je suis aujourd’hui — une femme capable de savourer la vie dans toute sa complexité, pleine de couleurs, de textures, et d’émotions.
Ainsi, ma vie, marquée par les rêves d’une petite garçonne devenue femme, continue de se dérouler avec les nuances de l’identité féminine, où chaque moment est une célébration de la beauté, de la sensualité et de la liberté choisie.
Dans un coin de ma chambre, le miroir reflète une image que je ne reconnais pas tout à fait. Chaque mouvement est une danse entre deux mondes, celui de l’homme que la société attend et celui de la femme que je désire être, même si ce n’est que pour un soir. Me travestir, c’est une manière d’explorer mes désirs enfouis, une libération explosive de mes inhibitions.
En enfilant la robe satinée, je ressens le tissu glisser sur ma peau, chaque contact éveillant des sensations insoupçonnées. Les talons aiguilles, d’abord précaires, me donnent une allure nouvelle, une démarche empreinte de grâce que je découvre avec étonnement. Ma transformation est plus qu’apparente; elle est une métamorphose qui touche mon esprit et mon corps.
Le maquillage agit comme une seconde peau, le rouge à lèvres rouge vif souligne mes lèvres, tandis que les ombres à paupières ajoutent une profondeur à mes yeux. Je m’observe dans le miroir, un mélange de curiosité et d’excitation me traverse. Une envie brûlante émerge, liée à la découverte de cette féminité, de cette sensualité, s’éveillant en moi.
Lorsque j’entends frapper à la porte, mon cœur s’emballe. C’est un complice qui partage cette expérience. L’interaction devient électrique, chargée de promesses. La tension sexuelle monte, alimentée par notre jeu de rôles. Chaque geste, chaque regard échangé fait vibrer une corde sensible en moi. Je ressens une fusion de désirs, où le travestissement ne se limite plus à un simple costume, mais devient un langage.
La soirée est une célébration de l’authenticité, où je me permets d’exprimer mes fantasmes sans réserve. Être travestie, c’est plus qu’une expérience, c’est une exploration des limites de ma propre identité, un voyage vers une sensualité libérée, épanouissante et merveilleuse.
L’âge Adulte – le moment de bascule – une quête d’identité
À mesure que je grandissais, j’ai toujours ressenti une forte connexion avec ma féminité, exprimée à travers mes choix vestimentaires, mon maquillage, et ma manière de m’affirmer. Cependant, il subsistait en moi un sentiment d’inachèvement, une quête incessante pour comprendre qui j’étais réellement au-delà de cette façade extérieure.
La féminité, bien que puissante, ne semblait pas répondre entièrement à mon besoin d’appartenance et de réalisation personnelle. J’ai commencé à explorer d’autres dimensions de moi-même, me demandant si je pouvais trouver une forme plus complète d’expression personnelle ailleurs.
La soumission, pour moi, n’a pas été une fuite de la féminité, mais plutôt une extension de celle-ci. Elle offrait un espace où je pouvais être vulnérable tout en étant forte, où le lâcher-prise devenait une forme de pouvoir sur moi-même. Ce qui m’a fait basculer, c’est la découverte d’une communauté où la soumission était perçue non pas comme une faiblesse, mais comme une partie intégrante d’une dynamique de force et de respect mutuel.
Des rencontres clés ont également joué un rôle déterminant dans cette transition. Des individus qui incarnaient et faisaient vivre la soumission de manière épanouissante ont éveillé en moi l’envie d’explorer cette voie. Ces personnes m’ont montré que la soumission pouvait être une source de liberté et de développement personnel, un moyen de se défaire des contraintes imposées par les attentes sociales.
Me confronter et être confrontée à diverses formes et contextes de soumission m’a permis de redéfinir ma notion de féminité. Il ne s’agit plus simplement d’une apparence ou d’un rôle à jouer, mais d’une expérience intérieure riche et diversifiée. La soumission m’a aidé à me reconnecter à une féminité authentique, à embrasser ma personne profonde.
En conclusion, le passage de la féminité à la soumission est un voyage profondément personnel empreint de découvertes et de réinventions. C’est la recherche d’une vérité intérieure, où chaque étape est une opportunité d’épanouissement et de compréhension de soi
C’est la poursuite de ce voyage au long cours qui m’a fait me poser aux pieds de mon désormais Maître Vertigedsens.