Lola :
Soumise de Maître VdS

Moi Lola Femme, Soumise & Femelle
Ma Bio – Ma Jeunesse
Bonjour,
Je m’appelle Lola, propriété de Maître Vertigedsens. J’ai décidé de lui être soumise corps et âme pour notre bonheur commun dès lors que je me glisse dans ma seconde peau… À ce titre, il a tout pouvoir sur moi et en moi pour me faire vivre ma nature de travestie totalement assumée, demandeuse de féminité, de féminisation et de femélisation sous toutes les formes…
Il m’a demandé de me mettre totalement à nu, rapport à celle que j’ai été, à celle que je suis et rapport à celle que je veux devenir…
On dit souvent, à raison, qu’il y a un décalage entre les fantasmes et la réalité. C’est vrai tant qu’on n’a pas expérimenté.
En effet, je peux affirmer que mes expériences dans la soumission, surtout les dernières, de 2009 à 2025, m’ont permis d’évoluer grandement et de vérifier que je suis un(e) véritable esclave, très fier/ère de l’être et que mes désirs de soumission ne sont pas liés à des fantasmes mais sont plutôt confirmés par mes expériences.
Mes premiers émois : 1969 – 11 ans – la découverte
(1ère expérience)
En 6ème, à l’âge de la puberté (11 ans), comme tous mes camarades, je fus invité à passer une visite médicale pour l’entrée au Collège. Quand je fus présenté à la doctoresse, une belle femme bien conservée d’environ 45 ans, je fus impressionné et subjugué par l’autorité, la sévérité qu’elle dégageait au travers de sa voix et de son allure.
Elle m’ordonna de me déshabiller, de garder mon slip et de m’allonger sur la table d’auscultation. Brutale et irascible, elle m’ausculta rapidement, puis, à ma grande stupeur, sans prévenir, sans se soucier de la très grande pudeur de l’adolescent que j’étais, retira énergiquement mon slip, prit mon sexe sans délicatesse et me décalotta à plusieurs reprises tout en observant plaisamment mon visage qui grimaçait de sensations désagréables.
Extrêmement timide, interdit, je fus paralysé par la honte et par la très forte personnalité de cette doctoresse. Puis, elle m’ordonna de me diriger vers la balance pour me peser, vers la toise pour me mesurer et balayait du regard mon corps nu avec un petit sourire satisfait.
Très impressionné, je n’osais pas cacher mon sexe avec mes mains et me laissais guider comme un automate par ses ordres successifs. Pour compléter mon dossier, elle s’assit à son bureau devant lequel elle m’invita à rester debout, face à elle, tout en continuant à me regarder d’un air que je ressentais moqueur et à me poser quelques questions.
Je me sentais très humilié dans ma nudité, baissais les yeux mais, très étrangement, contradictoirement, lentement, plaçait instinctivement mes mains dans le dos et écartais légèrement mes jambes pour mieux exhiber une érection incompressible et complète que le plaisir de la honte et de l’humiliation avaient sans doute déclenchée. C’est l’analyse que j’en fis plus tard…
Pétrifié, je répondais en bredouillant avec une voix chevrotante. Elle semblait vouloir ralentir volontairement le temps de cet interrogatoire pour savourer le plaisir qu’elle avait sans doute à rabaisser un jeune garçon qui se complaisait manifestement dans cette situation. Et ce fut avec un grand sourire qu’elle me permit de me rhabiller.
J’ai essayé alors de refouler cet événement qui me marqua si profondément qu’il s’installa en moi. Une inconfortable ambivalence émotionnelle s’était inoculée en moi qui se traduisait par la prise de conscience d’un irrésistible plaisir ressenti en situation d’humiliation et de soumission à une magnifique autorité féminine qui se confrontait à l’orgueil et à la fierté du jeune garçon que j’étais.
Au fil du temps, cette doctoresse, si belle, si séduisante dans son autorité et son assurance devint de plus en plus fréquemment l’objet de mes désirs les plus vifs et s’imposait dans mes pensées pour prendre une place privilégiée au milieu des premiers fantasmes sexuels en lien avec les attirances que je ressentais pour certaines filles de ma classe.
Toutes les images de cet événement alimentèrent mes orgasmes les plus intenses dans des masturbations de plus en plus fréquentes de sorte que j’admettais formellement, avec le recul, que la honte et l’humiliation ressenties devant cette majestueuse et inaccessible femme générait, par la transgression de ma pudeur et de ma fierté, non pas de la révolte mais des plaisirs susceptibles de déclencher mes plus fortes érections.
Mes premiers émois : 1972 – 14 ans – la confirmation
(2ème expérience)
Est-ce cette démarche émotionnelle, cette volonté de retrouver ces sensations de plaisir dans l’avilissement, qui déclencha cette envie de recréer une situation similaire deux ans plus tard ? Toujours est-il que le deuxième été qui suivit (j’avais 14 ans), j’invitai un camarade de 15 ans à rester avec moi dans le parc dans lequel on se rendait pour jouer au foot.
Nous attendions que tous nos camarades rentrent chez eux pour jouer à un jeu de cache-cache particulier : au milieu du bois qui bordait les terrains de foot, je cachai le ballon et me dissimulais aussi. Mon camarade devait me retrouver et me faire avouer la cachette du ballon. Pour cela, il pouvait utiliser tous les moyens pour y arriver.
Ce jeu était une opportunité pour moi de vérifier concrètement les orgasmes que j’obtenais en fantasmant sur ce que j’avais ressenti devant la doctoresse.
En effet, dans ce jeu, mon camarade avait le droit de m’attacher à un arbre (les poignets ligotés à une branche haute plaçaient mon corps en position d’étirement vertical), de me bander les yeux et de me déshabiller complètement pour préparer un interrogatoire musclé.
Ainsi, nu devant mon camarade comme devant la doctoresse et prêt à subir des châtiments, mon excitation liée à la sensation de honte et d’humiliation raidissait fortement mon sexe. Mon ami me fouettait ensuite le corps pour me faire avouer la cache du ballon (Il empruntait le martinet de ses parents). La première fois, n’osant pas appuyer ses coups, il ne put obtenir mes aveux.
Comme nous renouvelâmes ce jeu à plusieurs reprises, mon camarade s’enhardissait au fil du temps et, à la fin, je cédais devant les douleurs qu’il m’infligeait et qui, visiblement, lui procurait aussi du plaisir.
Puis, avec l’âge et la pression grandissante de la morale conventionnelle, je m’efforçais de refouler ces émotions que je finis par trouver malgré tout « impures » et qui me détournaient de celles que je ressentais devant les filles qui me plaisaient.
Pour autant, ce refoulement ne me permit jamais d’oublier ces désirs interdits que je vivais toujours secrètement dans mes masturbations.
Mes premiers émois : 1985 – 27 ans – le naturel revient au galop
(3ème expérience)
Marié en 1979, père de deux enfants, (1982 et 1986), l’ennui et la frustration engendrés par une relation trop conventionnelle provoquèrent une irrépressible résurgence de mes fantasmes qui m’orientèrent vers une jolie enseignante très autoritaire et sûre d’elle qui s’intéressa à moi.
Son autorité se manifesta rapidement et fortement dans les actes amoureux qu’elles dirigeaient totalement de telle manière qu’elle finit par me soumettre complètement dans des jeux où elle m’attachait, me bandait les yeux pour me fouetter, me gifler, m’insulter et m’utiliser comme un objet sexuel.
Le hasard de cette rencontre me replongeait étrangement dans les fantasmes du début comme si mon destin devait absolument croiser ce type de situation. Elle me fit découvrir les revues SM dont elle s’inspirait et qui me fascinaient. A chaque rendez-vous, elle allait plus loin et mon plaisir, mon excitation augmentaient tout en me renvoyant les images de l’adolescent timide que j’étais et qui se complaisait dans l’humiliation.
Elle tomba amoureuse de moi et voulut un enfant mais, toujours marié, je n’étais pas dans les mêmes dispositions de sorte qu’elle me congédia en 1989, ce qui m’affecta profondément ! Cette relation ponctuelle mais régulière confirma singulièrement, par le vif plaisir que j’éprouvais à me soumettre à tous les désirs de cette femme, mon penchant naturel à la soumission.