Lola :
Soumise de Maître VdS
Moi Lola Femelle – mon Histoire, Ma Bio – 1993 à 2007
Bonjour,
Je m’appelle Lola, propriété de Maître Vertigedsens. J’ai décidé de lui être soumise corps et âme pour notre bonheur commun dès lors que je me glisse dans ma seconde peau… À ce titre, il a tout pouvoir sur moi et en moi pour me faire vivre ma nature de travestie soumise totalement assumée, demandeuse de soumission, de féminité, de féminisation et de femélisation…
Il m’a demandé de me mettre totalement à nu, rapport à celle que j’ai été, à celle que je suis et rapport à celle que je veux devenir…
Mon histoire : 1993 à 1998 – 35 à 41 ans – Soumise à Maîtresse Veronica
Femme Mariée Dominatrice
Novice dans la domination, Maîtresse Veronica, très belle brune eurasienne que j’avais rencontrée dans ma salle de musculation, a vite évolué pour me dominer de plus en plus fermement tout au long de cinq années de bonheur pour moi. Les fréquentes absences de son mari, pilote de ligne, lui permirent de me dominer régulièrement quand je n’avais pas la garde de mes enfants (en moyenne deux fois par mois). Au fil du temps, cette fréquence me paraissait insuffisante tant mon désir de vivre à ses pieds s’affirmait. Sa domination était très sexuelle. J’étais son objet qu’elle utilisait intensément. La nudité m’était constamment imposée et mon corps devait être parfaitement épilé. Elle me déplaçait à quatre pattes à l’aide d’une laisse. C’est avec elle que je découvris les aboiements codés pour communiquer, les repas pris sans couvert dans une écuelle, à quatre pattes, à ses pieds comme une véritable chienne. Elle adorait m’animaliser. Adepte du gode ceinture, elle aimait me dominer analement, utiliser ma langue pour de longues séances de cunnilingus et d’anilinctus/anulingus (face-sitting) voire d’analingus tandis qu’elle lisait ou regardait la télévision. Elle suçait souvent mon sexe pour le raidir et l’utiliser comme gode pour ses orgasmes vaginaux. Elle m’utilisait comme soubrette pour divers services (massage, coiffage, habillage, ménage).
Au fil du temps, tous les moments passés ensemble étaient vécus uniquement dans le cadre de cette relation D/s qui devint de plus en plus poussée au point qu’elle me considérait définitivement comme son esclave, un sous être qu’elle avait réussi à priver de toute initiative, de tout pouvoir de décision, de toute volonté au profit exclusif de la sienne. Son autorité évolua vers davantage d’intransigeance, de fermeté, de sadisme de sorte que ses ordres devinrent péremptoires et que la moindre désobéissance était réprimée par de sévères punitions (enfermement dans le garage, enchaîné, bâillonné, cagoulé, fouet, cravache, gifles…).
La dernière année, elle invitait régulièrement des amies auxquelles elle offrait mon corps qu’elle considérait trop beau pour n’être consommé que par elle (Cela était très flatteur pour moi et me motivait pour faire totalement don de moi). Avant de les recevoir, elle dissimulait mon visage avec une cagoule, me bandait toujours les yeux pour que je ne puisse pas les identifier, m’attachait les poignets à la tête de lit pour être complètement offert. Ma langue, mon sexe et mon anus étaient fortement sollicités. J’étais l’objet de tous leurs désirs et cela m’excitait fortement. Ces longues séances de sexe étaient parfois entrecoupées de légers châtiments (gifles, fouet, fessées, pinces, insultes, mots crus). Si Maîtresse Veronica aimait souvent m’animaliser, elle me féminisait parfois car elle percevait en moi une sensibilité féminine prononcée.
La mutation de son mari entraîna notre rupture qui fut extrêmement difficile pour moi à accepter car j’étais très amoureux de cette très belle femme pour laquelle j’étais prêt à tout.
Il m’a fallu plusieurs mois pour me remettre de cette douloureuse séparation.
Mon histoire : 2000 à 2004 – 43 à 47 ans – Soumise à mon Esthéticienne
Client régulier, ma relation avec mon esthéticienne devint très complice à un point tel que j’osai lui demander de m’épiler le sexe et la zone anale (auparavant, je les épilais moi-même) parce que je sentais que je lui plaisais. Elle accepta sans problème et me demanda les raisons de cette épilation complète. Je lui expliquai alors que mes motivations étaient doubles. Je lui décrivis d’abord ma pratique du bodybuilding et mes exhibitions au cours de shows plastiques. La ressentant très directive, très sûre d’elle, je me risquai à lui avouer aussi sans complexe mon penchant à la soumission dont l’un des codes était le maintien permanent d’un corps lisse.
Je lui détaillai alors les pratiques BDSM qu’elle ne semblait pas ignorer, à mon grand étonnement. Elle se disait curieuse mais ce sujet était tabou dans son couple, ce qui ne l’invitait pas à l’explorer. C’était une très belle femme énergique et dégageant une autorité naturelle de sorte que je décidai de prendre le risque de la tester en l’invitant un jour, à la fermeture de son institut, au terme de mon épilation, à me donner une fessée, puis à me fouetter en m’insultant (j’avais apporté un fouet).
En cas de refus, elle devait m’inviter au restaurant. Si elle le faisait, c’était à moi de le lui offrir.
Je lui proposais de m’attacher les poignets aux pieds de sa table d’épilation, de me bander les yeux pour lui permettre de se libérer et de me tutoyer. Ma proposition était présentée avec légèreté, comme un jeu. Elle hésita longuement puis, à ma grande satisfaction, se décida à me fesser. Elle le fit avec de plus en plus de vigueur et d’assurance. Puis elle s’empara du fouet qu’elle mania avec énergie. Elle manifesta son plaisir de me châtier. Elle me retourna pour me fouetter le ventre et les cuisses. Cette séance de châtiments semblait l’exciter véritablement. Je ne m’attendais pas du tout à cette réaction aussi spontanée.
À ma grande stupeur, elle m’ordonna de m’agenouiller devant elle. Elle souleva sa minijupe et me fis découvrir son sexe parfaitement lisse que je léchais avec délectation. Son orgasme fut puissant. Je pris l’initiative de lui lécher les pieds et la supplia qu’elle me prenne comme esclave. En réponse, elle m’asséna une gifle et m’invita vertement à sortir de son institut en regrettant ce qui venait de se passer.
Une semaine après, elle me rappela pour s’excuser et fixer le prochain rendez-vous d’épilation comme à l’accoutumée. Sa voix était ferme et exprimait à la fois le regret d’avoir trompé son mari et le plaisir évident de m’avoir dominé. Elle reconnut qu’elle était envahie par le désir d’explorer ce que j’avais éveillé en elle d’autant que sa relation conjugale battait de l’aile !
Elle finit par se séparer de son mari, fut très amoureuse de moi et notre relation D/s qui était plutôt soft dura trois années au rythme de rendez-vous qui étaient très espacés du fait de son travail très chronophage et de la présence de mes enfants un we sur deux. Puis, nous nous séparâmes et elle fit le choix d’aller s’installer dans la Drôme.
Mon histoire : 2006 à 2007 – 49 à 51 ans – Soumise à Maîtresse Ida
Femme Dominatrice Vénale
N’ayant plus la chance de rencontrer naturellement de nouvelles femmes adeptes de SM, je me résolus à fréquenter une dominatrice vénale, Maîtresse Ida, qui me domina très ponctuellement dans le but de progresser et de maintenir concrètement mon statut d’esclave. Sa domination était essentiellement physique pour développer mon côté maso. Résidant près d’Orange, l’éloignement ne facilitait pas l’organisation de nos rencontres mais je faisais l’effort de me déplacer car j’aimais beaucoup cette Maîtresse.
Elle me fit découvrir l’uro, me fit subir de nouveaux châtiments (cire, électricité, bondage, enfermement) et me travailla beaucoup analement à tel point qu’elle me conseilla fermement de me soumettre à des dominateurs gay. Elle considéra que j’avais bien évolué chez elle mais que j’avais encore des paliers à franchir sexuellement. Elle prétendait que j’avais de bonnes dispositions pour être une vraie salope.
Ça !… c’était avant que je prenne contact avec Maître VertigedSens…