Lola :
Soumise de Maître VdS

Vertigedsens - Natachatte - Robee t bottes noires en intérieur - masque

Moi Lola Femelle – mon Histoire, Ma Bio – 1992

Bonjour,

Je m’appelle Lola, propriété de Maître Vertigedsens. J’ai décidé de lui être soumise corps et âme pour notre bonheur commun dès lors que je me glisse dans ma seconde peau… À ce titre, il a tout pouvoir sur moi et en moi pour me faire vivre ma nature de travestie  soumise totalement assumée, demandeuse de soumission, de féminité, de féminisation et de femélisation…

Il m’a demandé de me mettre totalement à nu, rapport à celle que j’ai été, à celle que je suis et rapport à celle que je veux devenir…


 

Mon histoire : 1992 – 34 ans – le cercle d’Omphale

(4ème expérience)

Convaincu de mon statut de soumis, assez mûr pour briser les chaînes de la morale, je me séparai en 1992 pour pouvoir vivre plus librement ma condition d’esclave. Dans une revue spécialisée, je relevai une annonce de dominatrices gynarchistes appartenant au cercle d’Omphale, annonce par laquelle elles manifestaient le désir de recruter des esclaves par le biais d’une évaluation-test prévue à Bordeaux.

Très motivé, je répondis à cette requête et fus convoqué à ce RDV courant mai 92. Je me suis retrouvé avec douze esclaves devant la gare de Bordeaux, lieu du rdv. Quatre voitures nous ont ramassés pour nous conduire au centre de la ville. Les serviteurs des dominatrices nous ont ensuite installés dans le salon d’un grand appartement où nous devions attendre notre tour pour être évalués.

Quand vint mon tour, je fus conduis par un serviteur qui m’ordonna de me mettre nu et de rédiger un commentaire sur mes motivations. A quatre pattes, yeux bandés, je fus ensuite traîné par une laisse vers un salon où trois Maîtresses m’attendaient. Elles me guidèrent de leur voix pour me placer à genoux devant un prie-Dieu. J’étais très impressionné mais tellement heureux de m’abandonner, à genoux, en offrande, devant des femmes supérieures.

Elles me qualifièrent d’esthète car elles apprécièrent mon corps musclé et complètement épilé (Professeur de musculation à l’époque, je prenais soin de mon corps et en prends toujours soin pour le plaisir et le respect de celles et ceux qui me dominent). L’une d’entre elles vint poser sa main sur ma poitrine et contrôla mes pulsations cardiaques dont le rythme traduisait toutes les émotions que je ressentais et qu’elle constata d’un air amusé. Elle enleva mon bandeau et l’intensité de mes émotions fut à son paroxysme quand je découvris ces trois majestueuses et sublimes Maîtresses. Elles se présentèrent.

La première, une vingtaine d’années, venait de Lyon comme moi, la deuxième plus âgée résidait à Bordeaux et la troisième, une trentaine d’année, était parisienne. A quatre pattes, genoux écartés, reins cambrés, je fus soumis à un examen exhaustif de mon corps et de mes orifices. Puis, elles me demandèrent de me masturber pour observer la grosseur de mon pénis dont elles furent satisfaites. Je fus ensuite soumis à un interrogatoire à l’issue duquel elles manifestèrent leur intention de me recruter pour participer à la soirée qu’elles avaient préparée. Je ne me souviens hélas plus de leur nom…

La Maîtresse parisienne me prit comme son favori. Pour le concrétiser, elle cracha dans ma bouche le champagne qu’elle venait de retenir dans la sienne. Je l’avalai goulûment et lui baisai longuement ses pieds pour la remercier. J’étais le plus heureux des hommes !

La soirée commença par la réunion des esclaves recrutés (Nous n’étions plus que la moitié) dans un autre salon. Elles annoncèrent que le commentaire que j’avais rédigé en préalable à ma séance test était celui qui avait été retenu et lu au téléphone à Jeanne de Berg, laquelle souhaitait s’entretenir avec moi. Déconcerté par cet événement inattendu, je fus pétrifié à l’idée de dialoguer avec la plus célèbre des dominatrices gynarchistes de France (auteur de plusieurs livres sur le BDSM). Je bredouillais alors quelques mots qui n’étaient pas le reflet de l’honneur que l’on m’accordait. Je me sentais perclus, si petit par rapport à cette Déesse. Devant mon incapacité à dialoguer, j’aurais préféré sa présence pour me prosterner à ses pieds et lui manifester mon adoration.

Ensuite, les Maîtresses attachèrent nos sexes à des laisses qui sortirent de nos pantalons pour une balade en ville. La Maîtresse dont j’étais le favori me traîna ainsi par la laisse dans la rue jusqu’à un restaurant où un dîner avait été réservé. De nombreuses personnes se retournèrent sur moi, les serveuses du restaurant également, intriguées par ce qui reliait ma Maîtresse à ma braguette ! Je ne ressentais aucune honte, au contraire, j’étais fier d’être humilié en public pour le plaisir de ma Reine d’un soir. J’eus le privilège de dîner à ses côtés. Elle s’assura toute la soirée de ma motivation à honorer d’autres rendez-vous dans les mois à venir.

Puis, les esclaves furent conduits sur une place réputée pour être un lieu de rencontres libertines. Nos Maîtresses firent une démonstration de maniement de fouet et d’autorité sur nous. La foule se pressant autour de nous, nous reprîmes les voitures pour terminer la soirée dans l’appartement de la Maîtresse bordelaise.

De retour à Lyon où je résidais à l’époque (Je suis désormais en Saône et Loire depuis 2012), j’attendis avec impatience un nouveau rendez-vous destiné à éprouver mes capacités sexuelles et physiques, comme il était convenu. Je dus attendre l’été pour être contacté par un esclave qui m’enjoignit de me rendre dans un domaine au centre de la France. Je dus renoncer, le cœur déchiré, à honorer ce rdv attendu que j’avais cette semaine-là la garde de mes enfants. En pleine séparation, ma situation était difficile à gérer ! Je ne reçus alors plus aucun appel. Ne possédant aucune coordonnée de mes interlocuteurs, je me trouvai dans l’impossibilité de solliciter une autre date.

Je pris alors conscience que je ne pourrai pas vivre ma condition d’esclave d’une manière régulière, encore moins à plein temps comme je le rêvais tant que je n’aurais pas assumé mon rôle de père jusqu’au bout. Je décidai alors, en marge de mes obligations de parent, de faire évoluer ma soumission dans des rencontres ponctuelles destinées à repousser le plus loin possible mes limites sexuelles et masochistes afin d’être prêt à un esclavage à plein temps le jour où mes enfants seraient enfin indépendants !

Ça !… c’était avant que je prenne contact avec Maître VertigedSens…

 

Lola, femme et femelle soumise, dédiée aux volontés de Maître VertigeDSens

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