Lola :
Soumise de Maître VdS

Moi Lola Femelle – mon Histoire, Ma Bio – 2008 à 2011
Bonjour,
Je m’appelle Lola, propriété de Maître Vertigedsens. J’ai décidé de lui être soumise corps et âme pour notre bonheur commun dès lors que je me glisse dans ma seconde peau… À ce titre, il a tout pouvoir sur moi et en moi pour me faire vivre ma nature de travestie soumise totalement assumée, demandeuse de soumission, de féminité, de féminisation et de femélisation…
Il m’a demandé de me mettre totalement à nu, rapport à celle que j’ai été, à celle que je suis et rapport à celle que je veux devenir…
Mon histoire : 2008 à 2011 – 42 à 45 ans – Soumise à un Dominateur Gay
Maître Alex de Genève
Je suivis alors à la lettre ses recommandations (voir « Mon Histoire 2000 à 2007) et je contactai des dominateurs homosexuels sur Internet. Un MAÎTRE habitant près de Genève me convoqua un week-end. Je n’avais jamais pensé à cette humiliation d’être baisé par des hommes et cette idée engendrait chez moi beaucoup d’excitation malgré le fait que je ne me sentais pas du tout homosexuel au sens que je ne suis absolument pas attiré amoureusement par les hommes. Il était fondamental pour moi de pouvoir accepter d’être un objet sexuel au service de toute personne, de repousser mes limites sexuelles, de pouvoir être humilié à la hauteur de mes ambitions d’esclave.
Je me présentai alors à lui, le corps bien épilé, le cul propre (lavement préalable) comme il me l’avait recommandé. Son accueil fut à la hauteur de la description qu’il faisait de lui. Très autoritaire, très sévère, il m’ordonna tout de suite, dès le seuil de sa porte de me déshabiller et de me mettre à genoux devant lui.
Ses insultes, sa fermeté m’excitèrent et me placèrent tout de suite en phase avec ma vraie nature. Sans aucun préliminaire, il prit ma tête pour m’enjoindre de lui lécher le sexe qui se gonfla. Et instinctivement je le pris dans ma bouche pour le sucer goulûment comme si j’avais toujours pratiqué cela.
Cette sensation très agréable de sucer me surprit littéralement à tel point que je manifestais ce plaisir par des uhmm et avalais son sexe le plus loin possible dans ma gorge. Il fut lui-même épaté par cette première fellation et me traita de bonne salope, ce qui me flatta beaucoup et m’encouragea à m’abandonner totalement. La dimension féminine du qualificatif me révélait un peu plus à mon identification et la forme de celle que j’étais en train de devenir.
Il me traîna par la laisse dans sa chambre, m’attacha les mains à la tête de lit (ce qui m’excita car j’aime être attachée, offerte); il releva et écarta mes cuisses pour m’enculer sans ménagement. La douleur fut immédiate mais elle s’estompa après un moment et son visage près du mien montrait beaucoup de plaisir. Il me retourna ensuite, me fit cambrer, cuisses bien écartées. Il me complimenta pour la beauté de mon cul et de mon corps tout en me répétant que j’avais tout pour être une très bonne pute, ce qui m’excita d’autant plus !
Dans cette position, il m’encula avec vigueur et je ressentais enfin du plaisir. Il décida alors de m’emmener dans son donjon où il me cagoula et m’attacha fermement à un cheval d’arçon spécialement conçu pour avoir le cul bien ouvert et à bonne hauteur. Et là, ce fut une découverte étonnante. Une sodomie de plus en plus vigoureuse me procura un plaisir qui me surprit et que je traduisis instinctivement par des « encore, encore, Maître… ».
Son orgasme atteint, il me coucha au sol pour un face-sitting. Il m’ordonna de lui « fouiller » l’anus avec la langue comme une bonne salope doit savoir le faire puis il m’écartela à une croix où je reçus des sévices (gifles, pinces, fouet) tout en m’interrogeant sur ma vie, tout en me traitant de bonne lopette, de sous-merde. Il plaça une cage de chasteté qui emprisonna mon sexe.
Il prit de nombreuses photos et exprima son désir de me revoir très vite après ce premier contact très prometteur à son goût.
Il enchaîna en s’allongeant et me contraignit à le sucer et à le lécher encore et encore alors qu’il téléphonait à un ami. Celui-ci débarqua une demi-heure plus tard. Ils m’attachèrent à nouveau à ce cheval d’arçon et j’eus le privilège d’être enculée par l’un tout en suçant l’autre et tout en recevant des insultes qui étaient des compliments pour moi et qui m’excitaient : « bonne pute », « belle salope »…
Je repartis comblée et heureuse d’avoir pu aussi vite et aussi bien réaliser ce fantasme qui correspondait parfaitement à l’image de chienne que j’ai de moi.
Très motivée par le plaisir de ces humiliations sexuelles et par celui d’avoir été utilisée comme un vulgaire tas de chair pourvu de deux orifices, je rédigeai, dès mon retour, des annonces pour rencontrer des couples, des homosexuels pour vivre des situations encore plus hard.
Mon histoire : 2008 à 2011 – 42 à 45 ans – Soumise à un Couple
Maîtresse Valériane & Maître Jean-Luc
Très vite, j’eus la chance d’être choisie par un couple dominateur (Maîtresse Valériane et Maître Jean-Luc) qui cherchait une soumise de mon genre, bisexuelle, au corps musclé et harmonieux selon leur annonce, pour fêter l’anniversaire d’une amie en apprentissage de domination.
La rencontre test fut concluante et je fus, une semaine plus tard, convoquée au centre de Lyon et conduit dans un appartement où je fus enfermée nue dans une grande panière et enveloppé de rubans pour être présentée en cadeau d’anniversaire.
Quand Maîtresse Valériane l’incita à déballer son cadeau, la jeune Maîtresse montra une véritable joie. Elle me traîna par la laisse à quatre pattes dans l’appartement. On me prit en photos puis elle m’ordonna de lui lécher ses talons aiguilles et ses pieds tandis qu’elles discutaient et buvaient un apéritif. Cette jeune maîtresse était une très belle femme brune et élancée. Elle releva sa jupe en cuir très courte, écarta ses fines cuisses pour me présenter son sexe hyper lisse, une beauté ! Elle prit ma tête et m’intima l’ordre de retirer avec mes dents ses boules de geisha avant de la lécher. Je pris un immense plaisir (j’adore le cunnilingus) à la lécher tandis que les deux maîtresses se caressèrent les seins et s’embrassèrent. Je ressentis son orgasme qui fut très fort; je fus très fier de l’avoir obtenu.
elles m’ordonnèrent ensuite de me placer à quatre pattes, cuisses écartées et reins cambrés; elles me sodomisèrent tour à tour avec des godes ceintures, me travaillèrent longuement l’anus avec leurs doigts avant de me placer un plug. Elles jugèrent bon de m’infliger des fessées et de me couvrir le dos de cire chaude.
Leurs compagnons arrivèrent. Je fis le service de l’apéritif en soubrette dans une démarche déhanchée qu’ils souhaitaient lascive avec mon plug, des chaussures à talons, une perruque brune. J’ai adoré cela.
La fin de soirée fut très sexuelle. Je fus sodomisée par Maître Jean-Luc tandis que je léchais Maîtresse Valériane. Puis, face sitting pour les deux Maîtresses, léchages des seins, fellations pour les deux hommes, rapports entre couples qui étaient complètement bisexuels et échangistes… autrement dit, petite orgie à cinq, que du plaisir !
La fin de la soirée fut dédiée au jeu des sévices. Ils tirèrent au sort des sévices que la jeune Maîtresse devait m’infliger (Je fus immobilisée comme j’adore l’être : j’avais les poignets attachés à une chaîne qui pendait du plafond, les jambes écartées par une barre d’écartèlement et les yeux bandés)… 10 coups de fouet au ventre, 10 gifles, 10 coups de cravache aux fesses, 10 pinces aux seins, 10 pinces au sexe, 10 coups de fouet au sexe, etc… Après chaque série, je devais remercier la jeune Maîtresse et lui dire « joyeux anniversaire Madame ».
Ce fut une soirée merveilleuse avec deux couples libertins et vicieux d’un bon rang social.
Mon histoire : 2008 à 2011 – 42 à 45 ans – Soumise à un Couple
Couple Hardore
Cette évolution spectaculaire de mes aptitudes sexuelles engendrait une motivation qui m’amenait à vouloir aller encore plus loin et réaliser un fantasme qui m’excitait au plus haut point, celui de l’enlèvement et de la séquestration. Je répondis alors à un couple dont l’annonce les décrivait comme très pervers et qui montraient beaucoup de motivation pour procéder à un enlèvement séquestration.
Dans les échanges de mail, je leur avais envoyé mes photos à visage découvert mais ils refusèrent de me transmettre les leurs. Je compris par la suite ! Leur propos était très hard, très directs, sans concession; ils me motivèrent à franchir un nouveau cap. J’acceptai le rdv malgré l’angoisse que leur discours suscitait (Ils me mirent en garde contre leur perversité et leur sadisme. Ils ne voulaient pas de limites sinon celle de ma santé qu’ils s’engageaient à respecter).
Je voulais absolument braver ce risque important, aller encore plus loin pour prétendre au statut de véritable esclave capable d’être dominée et baisée par des inconnus sans définir de cadre préalable, car une authentique esclave, pour moi, n’a pas d’autre volonté à suivre que celle de ses Maîtres ! Ce qui implique l’absence de limites sinon celle de la santé. Cette situation me faisait peur et m’excitait aussi énormément. Il fallait la tenter pour être fixée définitivement sur la réalité de mon identité.
Je fus convoquée dans un coin isolé (une voie sans issue) de la ville. Un Maître, grand, obèse, m’attendait dans une grosse voiture. J’eus un mouvement de recul en le voyant. Un physique peu attirant ! J’hésitai vraiment. Puis sa voix très ferme et autoritaire me fit plier (J’aime les dominateurs et dominatrices très sévères et sûrs d’eux et il semblait l’être), car je voulais aller au bout de ce défi. Je devais dépasser son apparence, ma peur. Je devais avoir l’attitude d’une véritable esclave qui doit tout subir pour progresser encore et encore.
Il me poussa brutalement à l’arrière de la voiture, m’ordonna de me mettre nue, me cagoula, me bâillonna, me menotta les mains dans le dos puis me jeta dans son coffre (il avait baissé son siège pour me laisser respirer et pour converser avec moi). Il me promit une sévère punition pour l’hésitation que j’eus spontanément. Il me dit qu’il fallait que je sois à la hauteur de la présentation que j’avais faite de moi ! (Il est vrai que je m’étais présentée comme une soumise bi très salope qui recherchait des scénarios d’enlèvement, de séquestration et des dominateurs autoritaires, sadiques et pervers).
Je dus reconnaître qu’il avait raison et que je méritais la punition annoncée. Sa fermeté, sa brutalité, sa sévérité, en fait, me séduisirent instantanément, car elles me plaçaient immédiatement dans le statut de soumise qui est naturellement le mien.
Déjà, j’oubliai son physique et commençai à me relâcher dans le plaisir d’être si fermement attachée, d’être à la merci d’un couple dont l’homme semblait être à la hauteur d’un dominateur effectivement digne de ce nom ! Une demi-heure de route à travers la ville dans le noir complet et enfin l’arrivée dans une zone artisanale (il était le gardien de cette zone qu’il décrivait déserte en ce début de WE; il y habitait dans un petit appartement en son coeur).
Aucune âme alentours ! Il me traîna brutalement dans le hall de son appartement où m’attendait son amie qui s’exprima avec un langage peu recherché. Je ne la voyais pas et ne la vis jamais car j’avais les yeux bandés continuellement ! Je me demandais dans quel traquenard j’étais tombée. J’eus une angoisse qu’elle sentit. Elle me prit les couilles, les serra jusqu’à la douleur, me cracha à la figure et me dit :
– « Petite merde, tu es ici parce tu es une pute qu’on va baiser à fond, que tu le veuilles ou non. On adore baiser les chiennes comme toi d’autant que t’as un joli ptit cul ! T’auras intérêt à bander tout à l’heure ! »
Elle me tira le sexe vers le bas pour que je m’agenouille. Elle me tira ensuite les cheveux pour relever ma tête et me gifler en me reprochant mon hésitation. Puis le Maître me frappa le dos et les fesses avec une cravache en me traitant de bâtarde pour me corriger, comme il me l’avait promis.
– « Cette crevure ne voulait pas monter dans la voiture, cette salope, on va lui apprendre à obéir ! »
La douleur de leurs coups, que je méritais effectivement, me fit totalement obtempérer dans un râle :
– Oui Maîtresse !, Oui Maître !, je suis une merde à baiser. Pardon Maîtresse, Maître, je suis là à vos pieds parce que je suis une salope à votre service.
Je compris qu’ils étaient d’intransigeants dominateurs et que je n’avais pas d’autres choix que de m’abandonner complètement à leur volonté et à leur diktat. Cette sensation d’abandon face à une implacable autorité déclencha en moi ce plaisir indicible d’être véritablement considérée que comme une authentique esclave, une authentique chienne et attesta que je me reconnaissais comme tels au point que j’étais désormais impatiente d’offrir mes deux orifices à ces deux dominateurs. En moi, alternaient la peur de l’inconnu, la peur d’une violence imprévue et une vraie excitation nourrie étrangement par cette peur et par cette chance d’être aux pieds de tels dominateurs.
Ils m’entraînèrent dans une petite chambre où une télé diffusait des images d’un DVD SM dont je n’entendais que le son. Les mains toujours menottées dans le dos, je fus invité à lécher les seins de Madame. Sa poitrine semblait ferme et je commençais à avoir du plaisir car j’adore le sexe surtout quand je suis humiliée, utilisée pour le plaisir de mes dominateurs.
Je n’avais plus l’image de l’obèse en tête mais celle de leur autorité, celle de la pute qu’ils me renvoyaient par leur discours et que je ressentais en moi. Et ce fut avec avidité que je lui léchai ensuite le sexe, guidé par ses mains qui serraient ma tête. J’eus un début d’érection qu’ils virent et leur fit dire que j’étais une vraie salope. Leur flatterie me poussa spontanément à les encourager à me baiser à fond aussi longtemps qu’ils le voulaient ! Ce qui les fit rire !
– « Ah ! La merde se reconnaît bien ! On va bien s’amuser. Une bonne correction remet vite les idées en place, n’est-ce pas ?
– « Oui, Maîtresse, je la méritais amplement et je vous remercie de me traiter comme une vraie salope soumise que je suis ! »
– « Voilà de bonnes paroles ! »
Elle obtint son orgasme bruyamment. Comme pour bien montrer que j’avais compris qui j’étais, je continuais à lui lécher le sexe en proférant des « uhmm uhmm ». Ils sentirent mon excitation, mon ardeur, la raideur de mon sexe provoquée par leurs insultes, mon acceptation d’être ce qu’ils souhaitaient, d’être en un mot cette esclave très soumise qui se révélait en moi comme une évidence dans cette situation. Oui ! je me sentais vraiment à ma place, installée dans un véritable bien-être !
Je fus sortie de mon intériorité et ramenée prestement à ma réalité du moment. Mon dominateur m’ordonna de lécher le corps de son amie puis de lui lécher l’anus. Je le fis avec ferveur pour recevoir ces mots de pute et de salope qu’ils prononçaient régulièrement et que je recevais avec tellement de plaisir !
Ce fut au tour de Monsieur ! Je commençai directement par son anus que je léchai longuement car il semblait bien apprécier ! Puis je léchai ses pieds en remuant, comme demandé, mes fesses que Madame admirait derrière moi ! Puis je suçai longuement son sexe qui était étonnamment petit (je n’eus aucun mal à le prendre entièrement dans ma bouche) tandis que Madame me sodomisa avec un gode ceinture !
Je fus ensuite attachée sur le lit, bras en croix. Madame, qui semblait très gourmande, me masturba pour obtenir une bonne érection et introduisit mon sexe dans son vagin après application d’un préservatif bien sûr. Son deuxième orgasme arriva vite. Madame conserva mon sexe en elle. J’étais au bord de l’orgasme. Dans le noir, ne voyant pas leur physique (les yeux toujours bandés), j’éprouvai beaucoup de plaisir aux pratiques qui m’étaient ainsi imposées avec autorité; aussi dans le fait d’être un vulgaire objet qu’ils utilisaient sans ménagement. Elle se mit à cheval sur ma tête, je lui fouillais encore goulûment l’anus avec mes lèvres et ma langue. Elle profita de sa position pour introduire ses doigts dans mon rectum. Elle me demanda ensuite de lui lécher à nouveau les seins, puis le sexe pour obtenir un nouvel orgasme (le troisième !) tandis que Monsieur revisita mon rectum avec ses doigts puis avec un gode.
Alors que la télé faisait entendre des coups de fouet et des cris ou des râles ou encore des voix très salaces, Monsieur se masturba au-dessus de moi et éjacula sur mon visage en m’adressant toutes les insultes dont j’étais digne. Il me faisait sentir que ce n’était pas un jeu, que j’étais pour eux, vraiment, une sous merde. J’allai, en réponse, dans leur sens en confirmant que je ne jouais pas un rôle mais étais un soumis et une chienne dans l’âme.
J’étais épuisée par autant de sexe et par la longueur de la séance mais tellement heureux d’être cette pute, cette salope dont ils profitaient ! Allongée sur le lit, bras toujours en croix, ils écartèrent au maximum mes jambes et attachèrent solidement mes chevilles aux pieds du lit. Immobilisé ainsi, complètement offerte, sans aucune défense, je ressentis, comme toujours dans ce genre de situation, un plaisir immédiat.
Ce fut alors une longue séance de punitions d’une intensité à laquelle je ne m’attendais pas et qui me rappela celle de Maîtresse Ida, un jour où je m’étais rendue chez elle en conduisant nue alors qu’elle me l’avait interdit.
Puis, je passai la nuit toujours attachée aux pieds de leur lit. Au matin, ils me baisèrent à nouveau avant le petit déjeuner qui ponctuait notre rencontre. Toujours nue, cagoulée et menottée, je fus raccompagnée dans le coffre de la voiture jusqu’au lieu initial.
Des verrous dans ma tête avaient prodigieusement sauté !
Mon histoire : 2008 à 2011 – 42 à 45 ans – Soumise à un Dominateur Gay
Maître Alex de Genève
Quelques semaines plus tard, Maître Alex, homosexuel, me reconvoqua pour passer un WE chez lui pour une soirée SM où je serais offerte à un groupe comme il me l’avait plus ou moins laissé entendre la dernière fois.
Je m’y rendis avec beaucoup d’excitation et d’appréhension aussi car si je découvris le plaisir de la fellation et de la sodomie masculine (j’avais l’habitude d’être enculée par des femmes dotées de godes ceintures), jamais je n’avais été l’objet sexuel d’un groupe ! Mais cette envie de toujours aller plus loin dans ma soumission était plus forte que toute résistance !
L’expérience de St Etienne était là pour en attester et me confortait dans l’idée que je serai à la hauteur! Je considérais cette nouvelle expérience comme celle qui allait définitivement confirmer sans équivoque ma véritable nature et orienter mes futurs choix de vie.
À mon arrivée, il m’ordonna d’enfiler un vieux pantalon et un vieux tee-shirt qu’il m’avait demandé d’apporter. Il me banda les yeux et me conduisit dans son donjon où il m’attacha les mains à un anneau suspendu à une chaîne.
Une dizaine de personnes gravitaient autour de moi. Mon Maître autorisa alors ces hommes à déchirer mes vêtements brutalement tout en s’exclamant que j’étais la salope, le tas de chair qu’ils allaient baiser. Rapidement dévêtue, je me surpris à être très excitée à l’écoute de ces insultes. Mon Maître du moment me demanda de crier très fort que j’étais une bonne salope. Je le fis avec tellement de conviction qu’il me demanda de le répéter sans cesse alors que crépitaient déjà des appareils photos, ce qui me plut fortement car j’adore m’exhiber.
Je sentis la meute s’exciter, des doigts pénétrer déjà mon rectum tandis que j’implorais d’être baisée comme une salope, ce qui fit énormément plaisir à mon Maître qui m’avait demandé d’honorer ses hôtes en étant aussi chienne que la première fois.
Ils me détachèrent pour m’immobiliser sur le cheval d’arçon. Et là, ce fut une très longue séance de baise très hard dont je sortis absolument comblée et sûre désormais de n’avoir aucune limite sexuelle. A tour de rôle, ils se relayèrent par groupe de deux : pendant que je suçais goulûment l’un d’entre eux, un autre m’enculait. Je recevais par moment des fessées, des gifles pour sucer plus profondément. Mon cul bien rond sans poil leur plaisait beaucoup. Mon corps musclé et très lisse les enthousiasmait et des photos étaient prises, ce qui m’excita davantage encore. Le plaisir que j’éprouvais d’être autant humiliée, d’être si brutalement baisée comme si j’en eus l’habitude me fit une nouvelle fois prendre conscience, s’il en était encore besoin, que j’étais vraiment une femelle soumise et que je devais absolument orienter ma vie vers un esclavage au quotidien. Je ressentais que j’étais vraiment, encore une fois, à ma véritable place dans cette situation.
Ce fut ensuite le moment du dîner. Mon Maître m’ordonna de m’asseoir dans un coin en me masturbant tandis qu’ils mangeaient. Puis il vint vers moi, m’ordonna de me mettre à genoux devant lui tout en me masturbant encore. Il m’ouvrit la bouche, enfila un morceau de crêpes puis son sexe que je devais sucer puis à nouveau un morceau de crêpes et ainsi de suite…
Quel régal !
La soirée s’acheva avec cette conviction que j’étais désormais cette salope, cette esclave en devenir en phase avec les fantasmes les plus hard qui m’habitaient.
Je m’inscrivis alors sur le MAE pour signifier cette conviction et ma volonté de vivre un esclavage très hard au quotidien ou dans une relation suivie et non plus dans une vie cachée.
Ça !… c’était avant que je prenne contact avec Maître VertigedSens…